Médecins de la Grande Guerre

Album photos

point  Accueil   -   point  Intro   -   point  Conférences   -   point  Articles

point  Photos   -   point  M'écrire   -   point  Livre d'Or   -   point  Liens   -   point  Mises à jour   -   point  Statistiques



point  [article]
Le 30 novembre 1918, deux soldats français sont enterrés à Bertrix avec les honneurs. Ils avaient été blessés le 23 août 1914 puis soignés et cachés par la famille Wanlin. Arnaud Quélard était mort le 24 février 1916 et Henri Lebreton le 27 novembre 1918 (grippe espagnole).

L'entrée du cimetière des Fusillés à Tamines.

La grotte des Voleurs, une des caches utilisées par les 120 soldats français qui, pendant 137 jours, réussirent à échapper aux Allemands.

Vendières (Meurthe-et-Moselle) : les habitants de ce village proche du front furent déplacés en Belgique par les Allemands. Ce n'est que le 28 octobre 1919 qu'ils purent enterrer solennellement les fusillés du 19 septembre 1914.

Demande de marraine. Carte postale illustrée par Xavier Sager, vers 1915.

Le monument élevé après la catastrophe dans le cimetière du Havre. Il comportait 105 noms. Il a été remplacé par un autre monument en 1921

Un groupe de cheminots belges à Oissel en 1918. Source : www.quenovel.be

Avant d'être admis au CISLA de Gaillon, René Glatigny était infirmier-brancardier. Sur cette photo il soigne un blessé en première ligne.

Un navire-hôpital dans le port de Calais.

Le Duc de Vendôme en visite à l'hôpital Élisabeth à Calais.

Sur le plateau, à Bonsecours, les bâtiments de l'hôpital anglo-belge. Dans la vallée, Rouen et la Seine

L’hôpital spécialisé d'Orival était installé dans les vastes locaux de la colonie scolaire du XVIle arrondissement de Paris.

Vue de la nécropole nationale de Brieulles-sur-Meuse, en Argonne.

Le docteur Detournay à son bureau.

Convalescents et infirmiers du camp du Ruchard.

Cimetière de Bonsecours. Au fond, le monument Albert 1er ; les tombes étaient alignées le long de l'allée qui y conduit, avant leur transfert à Sainte-Anne-d'Auray.

Hôpital de Bonsecours, salle de mécanothérapie.

Abbaye de Fontgombault : la nef de l'église transformée en dortoir.

L'environnement du dépôt de convalescents de Minihic était favorable à leur rétablissement. Depuis les chambres, les blessés pouvaient admirer la baie de Suliac.

Le cimetière de Neuville-sous-Montreuil pendant la guerre.

Aujourd'hui, on ne voit presque plus rien..., mais les corps sont toujours enterrés là !

Tombes belges à Sainte-Anne-d'Auray



© P.Loodts Medecins de la grande guerre. 2000-2020. Tout droit réservé. ©