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Patrouille de Lanciers – Août 1914. Comme tous les régiments de Belgique, les Lanciers avaient conservé un uniforme vieux de plus de cinquante ans et ne répondant plus en rien aux nécessité de la guerre moderne
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Ceux du début – Août 1914. Gendarmes, Guides, Carabiniers, Artilleurs et Prêtres-brancardiers au début des hostilités
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L’exode – Août 1914. Parmi les spectacles de la guerre, la fuite des villages entiers au milieu de la retraite de nos troupes, fut certes le plus lamentable
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Les demi-soldats. On en fut encombré au début : gardes-civiques, gardes-urbaines, volontaires, brancardiers, automobilistes et boy-scouts, tous animés des meilleures intentions, mais ne parvenant pas à être « à la page »
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Eclaireurs anglais dans les dunes – Octobre 1914. Sitôt débarquée, l’étincelante cavalerie anglaise commença son métier de scout dans les dunes
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Les premiers étrangers en Belgique – Octobre 1914. Ce fut la première partie du formidable défilé de troupes alliées en Flandre : Ecossais, Hindous, Sud-Africains, pour l’Angleterre ; Goumiers, Fusiliers-marins, Pioupious innombrables pour la France
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A l’Yser – Les funérailles, Hiver 1914 - 1915. Nos soldats, lors des grandes journées d’octobre, étonnèrent le monde, mais leurs pertes furent dures ; à peine tombé le martyr était enfoui, roulé dans sa capote ; une hâtive petite croix de bois désignait sa tombe
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Les Héros en guenilles – Début de l’Yser. Comme les soldats de Raffet, nos « Jass » glorifièrent la misère
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L’inondation devant Pervyse – Hiver 1915-1915. C’est de l’observatoire établi dans la gare de Pervyse que le spectacle de l’inondation était le plus impressionnant
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Les Vainqueurs. – Hiver 1914-1918. L’armée sortie de la bataille, était superbe et atroce ; les formidables journées d’octobre, l’hiver implacable avaient donné aux combattants français et belges, une allure définitive.
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Les Goumiers. – Hiver 1914-1915. La campagne de Flandre fut un terrible calvaire pour tous ces cavaliers Marocains et Algériens peu faits à notre climat et à ses intempéries.
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Le champ de bataille de l’Yser. Il nous a paru intéressant de donner, à l’ancienne façon des cartes de Ferraris, le champ de bataille de Nieuport à Dixmude.
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Nieuport et Westende. – Avril 1915. Cette planche, comme les deux suivantes, fait partie d’un croquis panoramique, à destination de l’artillerie belge, exécuté du haut de la cheminée Nord de la briqueterie de Ramscapelle.
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Middelkerke. – Suite du croquis précédent. A remarquer les ruines de la ferme Groote Bamburgh où s’immortalisa le 7eme de ligne.
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Ostende. Ainsi nos hommes voyaient Ostende, personnifiant en quelques sorte le plaisir, le luxe, le bonheur des jours de paix.
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Le Kaki. – Printemps 1915. Nous donnons ici un ensemble de croquis, de la manière dont fut porté le kaki à son début.
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Les Gourbis. – Eté 1915. Rien n’est plus pittoresque que cette vie sous la tente, qui par les beaux jours d’été avait son charme.
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Ce qu’un fantassin voyait de sa tranchée. De la boue, des entonnoirs d’obus, des marécages : le « no man ‘s land » ; une ligne plus claire de sacs trouées d’embrasures : la tranchée ennemie. En haut de la planche : la redoute de Kloosterhoek.
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Dixmude. – Août 1915. Ce que, de l’observatoire de Saint-Jacques-Capelle, un artilleur votait de Dixmude, du cimetière, et de la crête Woumen.
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Aux Avant-postes. Dans la partie inondée du front, les avant-postes étaient installés sur de minces bandes de terre immergeantes ou dans des ruines de fermes ; la relève s’y faisait nuitamment. Les Avant-postes étaient protégés eux-mêmes par un réseau de petits postes.
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La Relève à Drie-Graghten. – Hiver 1917-1918. Drie-Graghten se trouvait dans le secteur reconquis par l’offensive de 1917. La route de Noordschote à Drie-Graghten, par laquelle nos troupes allaient aux avancées, n’était plus qu’une suite d’entonnoirs et de terres éboulées.
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En Permission. … On vivait en pensant à la dernière, et en espérant la prochaine.
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Pièce de 75 sous son camouflage. – Chemins des Rondins, Merckem, Hiver 1917-1918. Après de timides essais, le camouflage était arrivé à masquer sur le champ de bataille tout ce qui était d’utilité militaire.
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Les Gestes éternels. Ni la guerre, ni la mort n’arrêtèrent ces deux grands gestes de vie.
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Le retour de l’attaque. – Prise de Papegoed le 11 septembre 1918. Ce fut un des premiers coups de sonde, précédant l’offensive. Les blessés et les prisonniers reviennent vers l’arrière. En haut de la planche quelques types de patrouilleurs et de prisonniers.
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Le Guetteur. L’attaque bat son plein, les tirs de barrage se précipitent ; tous ceux qui le peuvent sont terrés dans les abris, seul, le guetteur veille, face à l’ennemi.
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L’homme de liaison. Les fils téléphoniques sont coupés ; les signaux lumineux inobservables. C’est au coureur à traverser la zone de mort pour faire liaison entre les diverses unités engagées.
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Les Anglais en Flandre. Ypres et Poperinghe, occupées par les Anglais, avaient une physionomie tout à fait différente du restant du front. Dans les ruines et la misère, les Tommies gardaient leur flegme et leur humour.
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Le ciel de Flandre un soir de raid. Tous ceux qui ont vécu dans la zone de guerre, connaissent ces ciels-là ; les projecteurs balayant la nue, les coup de départ et les éclatements de shrapnells, le grondement des bombes.
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Drachens attaqués par avion. Les drachen ou ballon d’observation, étaient de terribles gêneurs pour les mouvements de troupes et les attaques. Des aviateurs s’étaient spécialisés dans la destruction des « saucisses ». Ce fut à cette périlleuse besogne que s’immortalisa Willy Coppens.
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L’art au front. Il est intéressant de constater le succès que tous les efforts artistiques eurent auprès de nos « jass ».
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L’heure H. – L’attaque, 28 septembre 1918. Les batteries ont subitement ouvert le feu ; dans les lignes ennemies, les fusées montent affolées.
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Avions ennemis mitraillant une progression d’infanterie. Moorslede, 29 septembre 1918. L’aviation ne fut pas seulement employée à un service de reconnaissance et d’observation, on l’utilisa aussi comme arme de combat.
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Cadavres allemands devant Roulers. – Octobre 1918. L’imagerie héroïque s’est complue à nous montrer des tués sous un aspect exempt de tout tragique. Il y a loin de là, aux loques humaines tordues par une agonie atroce, aux tas de guenilles misérables entrevues dans un fossé ou étalées au grand soleil d’un chaume.
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Le retour. L’entrée de nos soldats dans les villages et villes reconquis donna lieu, à des scènes poignantes.
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La dernière étape du calvaire. Pour celui qui a connu toute la gloire, il reste à connaître toute la misère !
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